Trump reconnaît avoir été inquiet de la sécurité de sa visite en Irak

Trump reconnaît avoir été inquiet de la sécurité de sa visite en Irak
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Le président américain Donald Trump a reconnu avoir eu des inquiétudes sur la sécurité de sa visite surprise de quelques heures mercredi en Irak, à la rencontre de troupes américaines, estimant qu'il était "assez triste" d'être contraint à autant de confidentialité.

"C'est sûr. Quand j'ai entendu tout ce par quoi il faut passer", a répondu M. Trump, lorsqu'un journaliste lui demandait s'il avait eu des appréhensions avant ce déplacement en compagnie de son épouse Melania, le premier en zone de conflit depuis le début de sa présidence il y a deux ans.

"Pas pour moi-même personnellement. J'avais des inquiétudes pour la Première dame, je peux le dire", a-t-il expliqué. "J'avais des inquiétudes concernant l'institution qu'est la présidence".

Et d'ajouter: "Si vous aviez vu tout ce que nous avons dû subir, l'avion plongé dans le noir avec tous les hublots fermés et aucune lumière nulle part. Le noir complet", a-t-il raconté.

"Alors est-ce que j'ai eu une inquiétude ? Oui, j'ai eu une inquiétude", a-t-il dit.

Le milliardaire, qui est parti de Washington mardi en pleine nuit, a précisé que de précédents projets de visites de ce genre aux troupes américaines avaient dû être annulés après que leur existence eut été ébruitée.

"C'est assez triste lorsque vous dépensez 7.000 milliards de dollars au Moyen-Orient et qu'y aller nécessite cette énorme opération de couverture avec des avions dans tous les sens et tous les meilleurs équipements au monde, et tout ce que vous devez faire pour y entrer en toute sécurité", a poursuivi le milliardaire républicain.

Cette visite intervient en plein "shutdown" aux Etats-Unis --paralysie partielle des administrations fédérales-- et une semaine après l'annonce par M. Trump du retrait des troupes américaines de Syrie.

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Le Portugal a célébré les 50 ans de la révolution des Œillets

No Comment : l'incendie d'un hôtel dans l'est de l'Inde fait 6 morts et 20 blessés

L’info du jour | 25 avril - Soir