Stade Français: Wild renouvelle sa confiance à Meyer en prolongeant son contrat

Stade Français: Wild renouvelle sa confiance à Meyer en prolongeant son contrat
Tous droits réservés 
Par AFP
Partager cet articleDiscussion
Partager cet articleClose Button
Tous droits de reproduction et de représentation réservés. © 2024 - Agence France-Presse.
Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© 2024 - Agence France-Presse. Toutes les informations (texte, photo, vidéo, infographie fixe ou animée, contenu sonore ou multimédia) reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) sont protégées par la législation en vigueur sur les droits de propriété intellectuelle. Par conséquent, toute reproduction, représentation, modification, traduction, exploitation commerciale ou réutilisation de quelque manière que ce soit est interdite sans l’accord préalable écrit de l’AFP, à l’exception de l’usage non commercial personnel. L’AFP ne pourra être tenue pour responsable des retards, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus dans le domaine des informations de presse, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. AFP et son logo sont des marques déposées.

Le propriétaire du Stade Français Hans-Peter Wild a annoncé dimanche avoir prolongé d'un an, jusqu'en 2022, le contrat de son directeur sportif et entraîneur principal Heyneke Meyer, au bout d'une première saison mouvementée en interne et mitigée quant aux résultats.

"Il avait un contrat de deux ans, nous venons de l'étendre d'une année supplémentaire", a déclaré au micro de Canal+ le milliardaire suisse d'origine allemande, qui a racheté le club en juin 2017 à l'homme d'affaires parisien Thomas Savare et entend y "injecter encore 100 millions d'euros sur les 5 prochaines années".

Le propriétaire des boissons Capri-Sun avait engagé Meyer, ex-sélectionneur des Springboks, en 2018 pour deux saisons plus une en option. "Jusqu'à maintenant, je suis très, très content. Nous avons un staff très professionnel", a-t-il dit.

Malgré un recrutement clinquant (Nicolas Sanchez, Gaël Fickou et Yoann Maestri), le club de la capitale connaît des résultats mitigés pour la première saison du technicien sud-africain. Et surtout des tensions internes, concrétisées par les départs en janvier de Robert Mohr, ex-bras droit de Wild, et de Julien Dupuy, qui y avait passé dix ans comme joueur puis entraîneur.

"Le Stade Français a toujours eu des problèmes internes", a relativisé Wild. "Max (Guazzini, le président historique, 1992-2011) a fait un excellent travail, il a rempli le stade mais à la fin, Thomas Savare (président entre 2011 et 2017) a dû sauver le club. Il l'a bien fait mais n'avait plus d'argent. Maintenant c'est moi et nous devons rendre tout cela plus professionnel."

Wild a aussi soutenu Meyer face aux critiques de certains cadres mécontents de leur temps de jeu, tels Jules Plisson et Alexandre Flanquart.

"Certains joueurs ne jouent pas. Il y a de bonnes raisons à cela. S'ils ne sont pas contents, qu'ils aillent trouver une autre équipe", a-t-il sèchement déclaré.

"Il est inacceptable de se plaindre en public, à la presse. C'est un sport professionnel très onéreux et ils doivent se comporter de manière professionnelle, ils doivent apprendre cela. Le Stade Français a toujours été un club où l'on parle beaucoup. Ceci doit cesser."

Partager cet articleDiscussion

À découvrir également

Riner, Malonga et Tolofua en finale au Grand Slam d'Antalya

Grand Chelem de Judo d'Antalya : un podium dominé par la Corée du Sud et l'Autriche

Grand Chelem de Judo d'Antalya : Hifumi et Uta Abe dominent le podium