Le président chilien Sebastian Pinera a procédé lundi à un remaniement gouvernemental, mais sans réussir à apaiser la crise sociale alors que de nouvelles violences ont éclaté à Santiago.
Un rassemblement pacifique de plusieurs milliers de personnes sur la Plaza Italia, devenue l'épicentre des manifestations depuis le début de la contestation sociale, a progressivement laissé place à de violents heurts entre manifestants et forces de l'ordre, alors que des groupes de protestataires radicaux souhaitaient se rendre jusqu'au siège du gouvernement.
"Pinera démission!", criaient les manifestants que la police tentait de contenir à coup de gaz lacrymogène et de lances à eau.
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