Selon les Nations unies, la concentration dans l'atmosphère des gaz à effet de serre est à son plus haut niveau.
Fin octobre, baigneurs, surfeurs et sauveteurs se côtoient encore sur les plages d’Hossegor, dans le sud-ouest de la France. Le thermomètre affiche 29 degrés, des températures anormalement élevées pour la saison, dues au changement climatique.
Selon les Nations unies, la concentration dans l'atmosphère des trois principaux gaz à effet de serre, le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d'azote est à son plus haut niveau.
"Pour chacun de ces trois gaz, nous avons à nouveau battu des records, explique Petteri Taalas, secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale. il n’y a donc pas de réelle amélioration dans l'atmosphère pour l'instant".
L’Espagne connaît aussi un mois d’octobre particulièrement chaud et ces conditions inhabituelles devraient se prolonger encore deux semaines.
Conséquence du réchauffement de la planète, les vagues de chaleur sont désormais plus fréquentes, plus intenses, et durent plus longtemps.