Toutankhamon, sa tombe et son trésor, Madrid
Direction Madrid tout d'abord, avec une exposition consacrée à Toutankhamon. Vous pouvrez y découvrir une reproduction fidèle de la tombe du Pharaon et de ses trésors, telle qu'ils ont été découverts en 1922 par l'archéologue et Égyptologue britannique Howard Carter. Sur 2000 mètres carrés, les visiteurs en apprennent davantage sur la vie du jeune Pharaon, et sur les fouilles dans la vallée des rois. Toutankhamon, sa tombe et son trésor**,** à voir à l'Espacio 5.1 - Ifema de Madrid jusqu'au 9 avril.
** Les 500 ans du retable d'Herrenberg, Stuttgart**
Pour quelques jours encore, vous pouvez découvrir à Stuttgart l'oeuvre monumentale de Jerg Ratgeb : Le retable de la Passion, peint il y a 500 ans pour la paroisse de la ville d'Herrenberg, en Allemagne. Ce tableau intense et très détaillé représente les derniers moments de la vie de Jésus. Le retable de la Passion est à voir à la Staatsgalerie de Stutgart dans le cadre de l'exposition [Les 500 ans du retable d'Herrenber](https://www.staatsgalerie.de/en/exhibitions/500-years-of-the-herrenberg-altarpiece.html https://en.wikipedia.org/wiki/Jerg_Ratgeb)g, jusqu'au 12 janvier
Porté par les Dieux, Florence
A Florence, le Palazzo Pitti s'intéresse au rôle social et symbolique de la chaussure, de l'antiquité à l'époque moderne. L'exposition présente de nombreux souliers portés entre Ve et IVe avant Jésus-Christ. Une autre salle est consacrée à l'importance de la chaussure dans la culture de XXe siècle, à travers la mode ou le cinéma. L'exposition Porté par les Dieux est à voir jusqu'au 19 avril.
Euphoria : histoires d'un changement de système, Budapest
Terminons notre tour d'horizon par une exposition photo. A Budapest, Euphoria s'intéresse à la Hongrie des années 80, lorsque le pays a connu d'importantes transformations politiques. Des photos, des documents et des vidéos retracent cette période d'euphorie et de mutation, jusqu'aux premières élections libres de 1 990. Euphoria : histoires d'un changement de système est au centre de photographie contemporaine Capa, jusqu’au 23 février.