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Serbie: l'ultranationaliste Seselj n'a pas l'intention de se rendre au TPIY

Serbie: l'ultranationaliste Seselj n'a pas l'intention de se rendre au TPIY
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Par AFP, REUTERS
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Vojislav Seselj n’a vraiment pas l’intention de retourner derrière les barreaux. Et pourtant, le chef de file des ultranationalistes serbes est

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Vojislav Seselj n’a vraiment pas l’intention de retourner derrière les barreaux. Et pourtant, le chef de file des ultranationalistes serbes est convoqué par le Tribunal pénal international en charge de l’ex-Yougoslavie (TPIY). Il doit répondre de ses récentes provocations à l’encontre de la justice internationale et des Occidentaux.

Vojislav Seselj a été jugé pour crimes de guerre en ex-Yougoslavie dans les années 1990. Mais aucun verdict n’a été prononcé. L’homme étant gravement malade, il a été remis en liberté en novembre dernier et il a pu rentrer à Belgrade.

Aujourd’hui, il tourne le dos à la convocation du tribunal de La Haye. Et le gouvernement serbe n’a pas non plus l’intention de le livrer.
Pour le ministre serbe du Travail et des questions sociales, Aleksandar Vulin, la décision du TPIY constitue “une tentative de déstabilisation suite au récent discours du Premier ministre qui a parlé de l’agression de l’Otan.”

La semaine dernière, Vojislav Seselj a participé à une manifestation marquant le 16ème anniversaire du début des frappes aériennes de l’OTAN contre la Serbie, lors de la crise au Kosovo. Il a notamment incendié des drapeaux de l’Otan, de l’union européenne, des Etats-Unis et du Kosovo.

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