Maxence, six ans, s’est offert une main, pour moins de 50 euros. Né sans main droite, le petit garçon qui vit en Isère est désormais équipé d’une
Maxence, six ans, s’est offert une main, pour moins de 50 euros. Né sans main droite, le petit garçon qui vit en Isère est désormais équipé d’une prothèse imprimée en 3D, technologie qui ne bénéficie d’aucun agrément médical.
Depuis 2013, une fondation américaine, e-NABLE, a lancé un réseau philanthropique qui met en relation des personnes disposant d’imprimantes 3D avec des familles ayant des enfants à qui il manque des doigts ou une main. Déjà plus de 1.500 prothèses ont été fournies.
Maxence, qui a même choisi les couleurs et les dessins de sa main qu’il a baptisée SuperMax, est le premier en France à bénéficier de cette main en 3D.
“S’il la garde c’est qu’il voit un intérêt, et s’il trouve que ça le gêne plus qu’autre chose, il la posera. C’est sa main, c’est lui qui décidera”, a déclaré son père.