On les appelle les “otages oubliés” car ils sont pauvres et n’ont pas d’assurance.
On les appelle les “otages oubliés” car ils sont pauvres et n’ont pas d’assurance. 26 pêcheurs asiatiques ont retrouvé leur famille au Kénya après avoir passé près de cinq ans aux mains de pirates somaliens. Leurs géoliers les ont libérés après des années de négociations.
Somali piracy survivor: 'We lived off rats and birds' – https://t.co/1KXKAzrP5x#GoogleAlerts
— John Steed (@jsteed773) 26 octobre 2016
John Steed, coordonnateur de l’ONG Partenaires de soutien aux otages, qui a aidé à négocier leur libération, s’est rendu dans la ville somalienne de Galkayo pour en faire sortir les otages libérés. Ancien colonel de l’armée britannique, John Steed, s’est donné pour mission de sauver “les otages oubliés”.
26 hostages released by Somali pirates after 1,672 days – video featuring
jsteed773</a> <a href="https://t.co/cqt5KYOP0G">https://t.co/cqt5KYOP0G</a> <a href="https://twitter.com/Piracy_OBP">
Piracy_OBP— OCEANUSLive.org (@OCEANUSLive) 24 octobre 2016
Ces pêcheurs avaient été capturés au large des Seychelles en 2012 après l’attaque de leur bateau. Ils sont originaires du Cambodge, de Chine, d’Indonésie, des Philippines, de Taïwan et du Vietnam.
Source : AFP