La Fondation qui porte le nom de l’actrice annonce ce dimanche la mort de l'icône féminine des années 60.
L’icône féminine des années 1960 que beaucoup avaient désignée comme la plus belle femme du monde avait quitté le monde du cinéma il y plus de cinquante ans.
Connue sous ses initiales de B.B., Brigitte Bardot laisse notamment deux scènes mythiques dans l’histoire du cinéma : un mambo dans « Et Dieu créa la femme » (1956) et son monologue, nue sur un lit, au début du « Mépris » (1963).
Brigitte Bardot a tourné dans une cinquantaine de films et s’est consacrée dans la deuxième partie de sa vie à la défense et à la protection des animaux via la fondation qui porte son nom.
Brigitte Bardot chanta avec Serge Gainsbourg le cultisme, Je t’aime… moi non plus (1967) à l’époque où elle était devenue une Marilyn Monroe version française.
B.B. a popularisé l’image d’une femme libre « qui n’a besoin de personne » comme elle le chante dans un autre tube écrit par Serge Gainsbourg (Harley Davidson, 1967).
L’actrice claque la porte du cinéma et fonde la Fondation Brigitte Bardot en 1986.
« La liberté, c’est d’être soi, même quand ça dérange » écrit-elle dans son livre, « Mon BBcédaire », sorti le premier octobre 2025 chez Fayard.
L’icône française s’était distinguée, depuis plusieurs années, par des prises de positions politiques tranchées sur les chasseurs, le féminisme ou l’immigration. Certains de ses propos lui ont valu des condamnation pour injures raciales.
Brigitte Bardot vivait depuis des années dans le sud de la France, en partie dans sa résidence de la Madrague à Saint-Tropez. Elle est morte chez elle.