Les grands quotidiens du pays ont tous salué la distinction attribuée à un quartette d’organisations de la société civile. La Ligue des droits de
Les grands quotidiens du pays ont tous salué la distinction attribuée à un quartette d’organisations de la société civile. La Ligue des droits de l’Homme, l’Ordre des avocats et surtout l’UGTT, la centrale syndicale qui a accompagné la Révolution de Jasmin en 2011.
“Ceux qui ont reçu ce prix ont quelque chose à dire sur la paix et sur le respect des gens et des droits de l’homme. La Tunisie ne peut que se réjouir de cela. Ce ne peut pas être une mauvaise chose”, réagit ce retraité.
Dans les rues de Tunis, la population veut croire à un avenir meilleur. “Après la révolution, nous avons connu une crise économique. Mais les choses s’améliorent et j’espère que d’ici un ou deux ans la situation va s’améliorer”, déclare ce professeur.
Si la Tunisie peut se targuer d‘être un exemple en matière de transition démocratique, aujourd’hui le pays reste fragilisé par la menace des attentats jihadistes.