Newsletter Newsletters Events Évènements Podcasts Vidéos Africanews
Loader
Suivez-nous
Publicité

La finance vue par Jodie Foster et la révolution égyptienne : les curieux mélanges de Cannes

La finance vue par Jodie Foster et la révolution égyptienne : les curieux mélanges de Cannes
Tous droits réservés 
Par Euronews
Publié le
Partager cet article Discussion
Partager cet article Close Button
Copier/coller le lien embed de la vidéo de l'article : Copy to clipboard Lien copié

Quatrième film de Jodie Foster, Money Monster, avec George Clooney et Julia Roberts, a été projeté hors compétition ce jeudi. Dans la sélection Un Certain regard, un étonnant film égyptien, Cl

PUBLICITÉ

Les banques responsables de la crise financière, c’est la thèse défendue par Jodie Foster avec son dernier film, Money Monster, présenté hors compétition ce jeudi à Cannes.

Et c’est une bien belle équipe qui a monté les marches du festival, avec une Julia Roberts sur le tapis rouge pour la première fois de sa carrière.

Le film met en scène un présentateur télé vedette, George Clooney, pris en otage par un téléspectateur ruiné et désespéré.

Fred Ponsard, notre envoyé spécial au festival de Cannes :
“Le Festival de Cannes, c’est le glamour et le tapis rouge, mais c’est aussi des films engagés qui sont souvent présentés en sélection officielle. Deux beaux exemples en ce début de festival : Money Monster, qui pourfend le monde de la finance avec l’aide des plus grandes stars d’Hollywood, et Clash, de Mohamed Diab, qui dresse un portrait sans concession de la société égyptienne d’aujourd’hui.”

Et puis L’Egyptien Mohamed Diab a présenté dans la sélection Un Certain regard son film, Clash, qui réunit dans le huis clos d’un fourgon de police, révolutionnaires, Frères musulmans et même un policier. Etre réalisateur dans l’Egypte d’Al-Sissi “oui, clairement ça me fait peur”, a-t-il confié à l’agence France Presse.

Accéder aux raccourcis d'accessibilité
Partager cet article Discussion

À découvrir également

Selon une étude, le ChatGPT pourrait évoluer vers un parti pris politique plus à droite

Au Bangladesh, les manifestants continuent de démolir la maison de l'ancien premier ministre

UNICEF 2025 : Comment les dirigeants peuvent s'unir pour soutenir les générations futures