Guyane : le (difficile) temps du dialogue

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Par Philippe Mathieu
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Après la mobilisation, le dialogue.

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Après la mobilisation, le dialogue. Les ministres de l’Intérieur Matthias Fekl et des Outre-mer Ericka Bareigts entament leurs discussions avec les leaders de la mobilisation en Guyane.

Des leaders très déterminés à obtenir les moyens de faire enfin “décoller” le territoire après le succès des manifestations des derniers jours.
Olivier Goudet du collectif des “500 frères contre la délinquance” : “Nous adressons ce message aux ministres. N’ayez pas peur, désormais vous êtes EN SECURITE.” Ce sont les membres du collectifs qui ont repris ces deux derniers mots.

Une partie de leurs requêtes a déjà été validée par l’exécutif. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a acté la création d’un Tribunal de grande instance et d’un centre pénitentiaire à Saint-Laurent du Maroni, la deuxième ville du territoire, ainsi que la suspension de la cession du centre médical de Kourou.

Seulement voilà la belle entente n’a pas duré. Les négociations se sont arrêtées quelles minutes à peine après avoir commencé.

Le collectif portant les revendications a décidé, moins d’une demi-heure après le début de la rencontre, que, je cite l’un de ses membres “ça ne pouvait pas se passer comme ça pour des questions de transparence”.

(avec AFP)

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