En "cavale" depuis 18 ans, Vincenzo Vecchi était sous le coup de deux mandats d'arrêt européens, car condamné à 12 ans en Italie pour "dévastation et saccage" lors du sommet du G8 à Gênes en 2001. Un collectif s'est organisé en Bretagne, où il vivait depuis 8 ans, pour prendre sa défense.