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State of the Union : détente entre Athènes et Ankara, inquiétudes en Georgie

Une manifestante portant des drapeaux géorgiens et européens se tient devant la police qui bloque l'accès au bâtiment du Parlement à Tbilissi, le 14 mai 2024
Une manifestante portant des drapeaux géorgiens et européens se tient devant la police qui bloque l'accès au bâtiment du Parlement à Tbilissi, le 14 mai 2024 Tous droits réservés Shakh Aivazov/Copyright 2024 The AP. All rights reserved
Tous droits réservés Shakh Aivazov/Copyright 2024 The AP. All rights reserved
Par Stefan Grobe
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Cet article a été initialement publié en anglais

Cette édition de "State of the Union" se concentre sur la poursuite de la détente diplomatique entre la Turquie et la Grèce et sur l'escalade des troubles intérieurs en Géorgie.

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Il y a un an à peine, une rencontre au sommet entre les dirigeants de la Turquie et de la Grèce aurait fait sensation. Mais lorsque le président Recep Tayyip Erdogan a reçu le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis à Ankara cette semaine, il s'agissait presque d'une rencontre habituelle entre deux dirigeants.

Depuis plus d'un an, la scène internationale est témoin d'une initiative d'amitié vieille de cinq mois, conçue pour mettre fin à des décennies d'animosité mutuelle.

Les deux membres de l'OTAN se concentrent sur le commerce, le tourisme, l'énergie et le rétablissement des liens culturels.

"Dans le domaine critique des migrations, la coopération entre nos deux pays, et en particulier entre la police et les garde-côtes, porte ses fruits contre les flux illégaux et contre les misérables trafiquants, qui profitent de la douleur des personnes désespérées. Cette coopération doit se poursuivre et s'intensifier", a souligné Kyriakos Mitsotakis.

En Géorgie, des milliers de manifestants se sont rassemblés près du Parlement pour dénoncer l’adoption d’une loi sur les agents étrangers. Pour l’Union, ce texte risque de compromettre le processus d'adhésion de Tbilissi à l’UE. 

Le président du Conseil européen n’a pas caché sa déception. "J'ai eu un appel téléphonique il y a quelques jours avec le Premier ministre et je lui ai dit que j'étais déçu et que j'espérais sincèrement que la Géorgie trouverait un moyen de respecter les principes démocratiques et de répondre aux attentes de la population", espère Charles Michel.

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