Pep Guardiola prochain entraîneur de Manchester City : c’est le symbole d’une Premier League qui attire tous les talents, footballeurs comme
Pep Guardiola prochain entraîneur de Manchester City : c’est le symbole d’une Premier League qui attire tous les talents, footballeurs comme entraîneurs.
Le championnat d’Angleterre a dépensé 1 milliard 400 millions d’euros durant les deux derniers mercatos, estival et hivernal.
Exemple avec Manchester United qui a recruté à prix d’or des stars comme Bastian Schweinsteiger et de jeunes talents comme Anthony Martial.
En janvier, Norwich, 17e du classement, a dépensé davantage que l’ensemble des clubs français.
Symbole de cette toute-puissance financière : l’arrivée de Giannelli Imbula à Stoke City en provenance de Porto moyennant 25 millions d’euros.
#scfc delighted to confirm the signing of Giannelli Imbula from Porto for £18.3m – https://t.co/lkLqlVUn9Fpic.twitter.com/8B5LvfdzGN
— Stoke City FC (@stokecity) February 1, 2016
David Webber est professeur d‘économie à l’Université de Warwick : “Les clubs savent que l’argent va couler à flots, donc ils veulent investir. Ils veulent élargir leur audience au-delà de leur base habituelle de supporteurs pour avoir
un public à l‘échelle mondiale.”
Cet hiver, c’est Newcastle, une équipe qui se bat pour le maintien, qui a le plus dépensé.
Logique de vouloir rester à tout prix en Premier League, car les droits télés vont augmenter de 70 % la saison prochaine pour atteindre les 2,3 milliards d’euros.