Un démantèlement qui devait prendre un mois ou plus, mais qui sera finalement sans doute bouclé d’ici trois semaines. La préfecture du Pas-de-Calais
Un démantèlement qui devait prendre un mois ou plus, mais qui sera finalement sans doute bouclé d’ici trois semaines.
La préfecture du Pas-de-Calais accuse les militants radicaux de l’association “No Border” d’inciter les migrants à la violence, comme ici, hier soir, lorsqu’une centaine de personnes a attaqué des véhicules en partance pour l’Angleterre.
“Jungle” de Calais : “de la désinformation des No Border” https://t.co/EmJEZgmV8Zpic.twitter.com/mwrEgmA95k
— Europe 1 (@Europe1) 29 février 2016
Plus tôt dans la journée, c’est l’incendie, a priori accidentel, d’une cabane qui a mis le feu aux poudres. Trois personnes ont été arrêtées, dont deux activistes No Border.
Gaz lacrymos, jets de pierres : début d'évacuation tendu de la «jungle» de #Calaishttps://t.co/jCE1vdMIYwpic.twitter.com/YtLdeTGRkr
— Libération (@libe) 29 février 2016
Des activistes qui avaient déjà tenté plus tôt d’empêcher les migrants de monter volontairement dans ces bus en direction de centres d’accueil situés en dehors de la jungle.
L‘État s’est engagé à mettre à disposition un millier de places pour les réfugiés évacués, dont 200 dans ces centres d’accueil provisoires, des conteneurs chauffés et disposant de l’eau courante selon le ministère du Logement.