Par Euronews
Au Brésil, le procureur général a accusé le président de corruption passive, d’organisation criminelle et d’obstruction à la justice, pour avoir tenté « d’empêcher l’avancée » de l’opération « lavage express », qui a révélé le méga-scandale de corruption Petrobras.
C’est ce qu’il a écrit dans sa demande d’ouverture d’enquête auprès du Tribunal suprême fédéral, qui a reçu un avis positif.
Le procureur s’appuie sur des enregistrements accablants qui viennent d‘être révélés par la presse.
Le président Michel Temer a assuré qu’il ne démissionnerait pas. Il pourrait à son tour faire l’objet d’une procédure de destitution.