Il a fallu être inventif pour pouvoir continuer à s'entraîner durant le confinement. Ce triathlète aveugle irlandais, Leo Hynes, a trouvé la solution : s'accrocher à un élastique dans une sorte piscine et nager. Il ne va nulle part, mais il va vite. Il s'entraîne entre 15 et 20 heures par semaine.

Dans sa piscine, ce triathlète aveugle fait du surplace pour aller plus vite
Il a fallu être inventif pour pouvoir continuer à s'entraîner durant le confinement. Ce triathlète aveugle irlandais, Leo Hynes, a trouvé la solution : s'accrocher à un élastique dans une sorte piscine et nager. Il ne va nulle part, mais il va vite. Il s'entraîne entre 15 et 20 heures par semaine.