Des dizaines de personnes ont été blessées et plus de 200 personnes ont été arrêtées. Les dirigeants Kanaks ont condamné les violences. Les tensions ont débuté alors que l'Assemblée nationale a voté un projet de loi constitutionnelle modifiant le corps électoral de Nouvelle-Calédonie pour les élections provinciales. Cette décision a ravivé des tensions qui perdurent depuis années dans l'archipel.
