Dans un gymnase de Surin, quelque 550 habitants sont regroupés depuis leur fuite dimanche. Les autorités distribuent des repas et occupent les enfants, et la fraîcheur de l’hiver, autour de 27°C, rend l’attente un peu moins pénible. Mais l’inquiétude domine, surtout pour les maisons et les animaux laissés derrière.
Pendant que Bangkok et Phnom Penh jurent de tenir leur position, beaucoup d’évacués peinent à comprendre pourquoi deux voisins si proches se retrouvent encore plongés dans un tel conflit.