Les deux principaux syndicats ont lancé cet appel pour protester contre la réforme du travail annoncée par le gouvernement de centre droit de Luis Montenegro. L’exécutif affirme vouloir assouplir le marché de l’emploi, tandis que ses opposants dénoncent une remise en cause des droits des salariés.
Parmi les points les plus contestés figure la réduction des droits liés à l’allaitement et au congé après une fausse couche. Les licenciements seraient aussi facilités.
La grève de 24 heures devrait toucher les transports, les écoles, les hôpitaux et une grande partie du secteur privé.